A chacun sa vérité du jour

Bien entendu, tout le monde aimerait que les injonctions d’un épidémiologiste dont la réputation internationale ne failli pas, soient bonnes et applicables à tous.

Mais certains de ses compères espèrent bien, en coulisse, que ce ne soit pas le cas pour lui rabaisser le bec à cet individu qui rafle une bonne partie des subventions médicales pour le profit de sa seule organisation.

Et puis, il fait mauvais genre dans les dîners de salon celui qui avait prétendu non au réchauffement visible par tous sur Terre.

Comme quoi, lorsque l’on se met à croire d’un sujet qui n’est pas le sien mieux vaut tourner sa langue plusieurs fois et la conserver en bouche fermée, surtout par ces temps calamiteux.

Nul n’est prophète en son pays, c’est déjà dit, mais si tant soit peu, il le soit ailleurs, ce n’est pas la peine de se tenir en gourou.

Et c’est pour cela qu’il ne faut jamais au grand jamais, que les scientifiques prennent le pas sur les politiques : rappelez-vous le mauvais conte pour adultes que nous avait rendu le fou à petite moustache d’un autre temps.

Parcequ’elle avait dans son panier quelques bouteilles de sodas accompagnement ses légumes et lait, un malin des forces de l’ordre a cru bon de lui infliger une contravention jugeant, là au temps de son présent, qu’il ne s’agissait pas de courses de première nécessité.

Il est vrai que si à la place, c’étaient des bouteilles de vin qui s’étaient retrouvé dans le panier garni, il n’y aurait eu point de souci puisque les marchands de vins ont été considérés comme indispensable à la survie de nos contemporains.

A propos, le montant de l’amende s’est encore rehaussé de quelques crans pour faire la nique à la bourse qui baisse accélérant ainsi sa crise à venir.

Quitter la version mobile