A qui le tour ?

Dans l’affaire de ce pauvre type ignoble, a priori responsable du meurtre atroce de jeune étudiante, il semble que le nouveau de l’intérieur se tire tout seul dans les pieds réunis, avec peut-être une aide de ses amis d’extrême droite.

En effet, dès que l’affaire est sue, lancée, sans aucune sommation -il aimerait que ce soit le cas de ses subordonnés – il a fusillé ses ennemis déclarés de la justice en condamnant, sans autre procès – la police n’est que chien de garde – un soi-disant laxisme non prouvé.

Il s’avérerait que si l’homme a pu faire ce qu’il a fait et fuir à l’étranger, ce serait par pur manque de travail de ses hommes.

Demain, peut-être, ôtera-t-il les œillères trop bien portées.

En attendant, le ministres de nos économies a créé son premier couac.

Non pas en présentant un véritable programme d’impôts véritablement équitable puisqu’il est de gauche.

Mais comme il est de loin de cette tendance, c’est surtout par les mots qui paraît-il ont tellement fait mal que le 1er jeune vieux ministre s’est cru obligé de caresser dans le sens du poil la cheftaine de l’extrême droite.

Ce n’est plus la dame aux chats, mais plutôt une chatte faite femme.

Certainement ce patron droit dans ses bottes, s’empressera-t-il de rappeler à l’ordre son chef des polices; ce ne serait que justice.

Pognon de dingue, la française des jeux propose un gain de 130 millions d’euros, tandis que son principal actionnaire est à la recherche de 130 milliards d’euros.

Certes le différentiel est énorme, mais 1 % mis bout à bout devrait permettre d’aller au bout de cette dette abyssal dont le mur risque bien de s’effriter s’il s’avérait que quelques prêteurs ne voulaient plus jouer dans notre cour.

Au fait, pourquoi ne pas faire comme le Japon qui chaque jour qui se lève est endetté jusqu’au cou ? Leur solution est simple : ce sont ses entreprises, ses citoyens qui portent la dette et basta le Fmi.