Sans vraiment comprendre ce qui s’y passe tant les journalistes de tout bord n’y comprennent rien – il faut comprendre, ils n’ont appris qu’à manipuler l’information pour sortir de grands en petites phrases, pas l’info vraie – nous ne pouvons que constater que c’est le grand Far-West.
Outre Atlantique, c’est à couteau tiré qu’ils dépouillent les votes.
Le méchant aura-t-il raison du gentil.
Mais, voilà, comme pour le résultat final, les apparences sont trompeuses, même si à force de crier au loup, personne ne viendra au secours du perdant surtout si c’est celui qui avait gagné précédemment.
Je serais à la place de celui qui passe pour le grand méchant, je demanderai que la qualification se fasse géographiquement.
A voir, le rouge s’étendre sur les campagnes et champs des états, il n’aurait pas besoin de s’inquiéter sur le où va les villes plus riches.
Pourtant, c’est du jamais vu ? Plusieurs chaînes de télé ont soit condamné, soit carrément coupé le discours de celui qui est encore président sous l’excuse intéressante que ses propos seraient faux.
Cela voudrait-il dire que le pouvoir est passé entre les mains des journalistes.
Mais pourquoi donc, est-ce que la grande Europe et tout particulièrement notre pays, s’intéresse tant à cette fédérations de pays non unis au risque d’oublier les vraies occupations quotidiennes ? Est-ce pour permettre à nos décideurs de souffler un peu, reprendre leur esprit face à un virus malin dont l’un dit qu’il est toujours le même alors que l’autre dit le contraire en comptant déjà 4 variants.
De toute façon les jeux sont faits, les européens vont boire jusqu’à la lie ce calice malsain.
Et pour la politique extérieure rien ne changera si ce n’est à la marge et pas sûr que les intérêts du vieux continent y trouvent leur compte.
Pour l’élevage en scolaire de vos enfants, la propagation du virus est maîtrisé.
Mais pour vos volailles, attention la grippe aviaire couve sur 45 de nos départements confinés.