Sachez d’ailleurs qu’ils continuent, s’ils le peuvent, à aller voir leur médecin sans parler de cet état fait tant cela paraitrait déplacé. Bien sûr, toute peine mérite salaire à la hauteur de sa contribution mais est-ce bien normal que les smicards et autres ne voient rien venir, que les allocataires bénéficiaires constatent la faiblesse de leur minima et se demandent encore comment arriver à se loger, nourrir, vêtir avec si en province et n’osons même pas penser en Île de France où chaque propriétaire pense qu’il est maître en son château de Versailles.
Et que dire des retraites juste touchés d’un euro brut sur près de 5 ans ?
Mais, c’est bien que mon médecin puisse prétendre désormais atteindre le niveau de son plombier bien que l’un accepte d’aller chez le particulier alors qu’il est vraiment de plus en plus difficile de faire venir l’autre ; ils devraient, en passant, avoir secrétariat commun pour régler ces quelques petits soucis communs.
Pourtant, problème il y a puisque ces généralistes affirment ne plus vouloir donner tant d’heures professionnelles alors qu’il est bien connu que pour les professions libérales, le seul moyen de gagner est d’étendre ses horaires au contraire d’un salarié qui n’en peut plus mais…
Mais surtout, cet homme, qui avait tout pour réussi, et surtout une tête de premier de classe bien fournie, a bien dû choisir en connaissance de cause son avenir professionnel, à moins que ce ne soit une obligation familiale parfois très dure avec les enfants chéris, pourquoi n’a-t-il pas, dans le fond, choisi de s’occuper des tuyaux de vidange ?
Ma vie est mal faite…