En effet, celle-ci semble poursuivre la terrible logique de son chemin croissant vers la désertification des électeurs.
Mais, hier encore, l’extrême droite avançait grâce à ceux qui ne venaient pas puisque leurs électeurs, eux, venaient en masse, ne laissant que des miettes de rattrapage possible au 2ème tour.
Or, si l’on prend pour réel, les intentions de vote proclamées dans les sondages, le parti de la cheffe parricide aimant les chats et les jeunes bobos, mais pas les migrants, devait se placer en première ligne.
Que nenni mon ami, mais faut-il s’en réjouir ? Dans tous les cas, cette cheffe n’aime pas que l’on se refuse à elle.
Elle a houspillait ses supporters pour venir finir le match.
Il est encore temps en deuxième mitan.
Mais, pourtant, pas sûr que les électeurs apprécient d’être comme des gamins pris les doigts dans la confiture et qu’ils rentrent à la maison penaud.
Le Conseil d’État, saisi par les syndicaux, relance le quoiqu’il en coûte en demandant la suspension de la réforme du chômage consistant punir ceux qui se sont faits virés de leur emploi sans être capable d’en accepter un autre moins rémunéré.
Il est vrai qu’au jour d’aujourd’hui, et pan pour ceux qui n’aiment pas, avec le flot de véhicules incessant, cela devient très compliqué de pouvoir se rendre sur le trottoir d’en face.
Sauf peut-être en centre-ville de la Capitale dont la maire vire les belles autos de la relance économique.
Et encore faut-il faire gaffe à la horde des vélos, patinettes et autres qui filent de bon cœur sur le macadam.
Ce second tour prend un chemin n’ayant pas peur de quelques raccourcis.
Reçu au petit matin un étrange Sms sibyllin : « 2ème tour des élections le 27 juin : un candidat voudrait vous présenter ses arguments de campagne.
Vous ne voulez pas de Sms de sa part ? Envoyez Stop 36113 » …
