1,2,3 tu comptes bien…

461, 508, 507, 499, 511 et 612 ; ce sont les chiffres de la croissance sur la période 2013 – 2018.

Il faut que cela cesse, notre pays ne peut plus se permettre de vivre à crédit.

Et encore, ce nombre ne chiffre que les personnes recensées.

Ces Sdf laissés à la rue sans rien, sans chaleur, sans toit ni toi, sont la honte de la nation lorsqu’on les voit ainsi étendus dans la rue sur le trottoir d’en face d’un courage vain d’avoir traversé la chaussée pour ne rien trouver.

En laissant faire cet épouvantable séisme, en faisant comme si de rien n’était, en continuant à les considérer comme rien, c’est notre part d’humanité qui s’en va se fracasser sur la morale capitalistique qui veut que la nature sélectionne les plus forts.

Entre poire et fromages ou au moment du thé de fin après – midi, le roi avait fait appelé baron pour lui faire injonction de se retirer.

L’autre a signalé que sa baronnie était en République et qu’il comptait bien en profiter n’en déplaise à sa majesté qu’il a néanmoins en haute estime.

Et il a bien raison, l’illuminé si l’on n’avait pas été République le félon de lèse-majesté aurait été embastillé, voire décapité d’un tel sacrilège.

Tandis que maintenant, il ne devra plus qu’attendre un coup mortel en bande de billard français pour lui faire rendre gorge de ne rien comprendre à la gentillesse d’un haut élu national.

10 ans, il aura fallu deux quinquennats pour démêler l’écheveau de l’affaire bouchée alors même que le rhône était parfois dans sa région basse en crue.

Un éléphant d’un ancien grand parti qui aimait bien voir les siens au trône de France sera présenté devant un tribunal correctionnel pour avoir outrageusement mélangé habilement affaires privées et publiques.

Mais, il avait circonstances atténuantes.

Les autres l’avaient fait homme de pouvoir ce qui enlève bien des complexes de discernements…

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